lundi 29 juillet 2013

Extase

Encore un été suspendue au plaisir de m’enivrer du doux parfum de tes cheveux fleuris… 

                                               photographie : L. J.

« Dans l’océan de ta chevelure, j’entrevois un port fourmillant de chants mélancoliques, d’hommes vigoureux de toutes nations et de navires de toutes formes découpant leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense où se prélasse l’éternelle chaleur. » 

Baudelaire, Le spleen de Paris.

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