Nathalie Lemel (mosaïque de Jérôme Gulon) |
Quand plus une goutte d’hydrocarbure ne sortira des
entrailles exsangues de ce monde à l’agonie, il restera toujours, pour lui
donner le coup de grâce, la seule énergie renouvelable qui vaille : celle
des pétroleuses !
Il faut tout miser sur la fracturation hydraulique, je pense qu'elle seule peut fissurer suffisamment la croûte afin de nous précipiter vers le centre en fusion. Mais on n'est jamais à l'abri d'une autre bonne nouvelle, la piscine à ciel ouvert du réacteur numéro quatre qui se disloque est une option non négligeable. Gardons espoir.
RépondreSupprimerMes andouilles cornues vous saluent, chère Lilith.
Une piscine à ciel ouvert du réacteur N°4, dites-vous?
RépondreSupprimerChic alors, justement Lilith porte aujourd'hui son petit pull marine!
Où peut-on voir cette belle mosaïque ? à Paris ?
RépondreSupprimerOui : rue de l’École de médecine, près du club que Nathalie Lemel, co-fondatrice de l’Union des femmes pour la défense de Paris, fréquentait dans l’amphithéâtre de la faculté de médecine. En remontant la rue Soufflot en direction du Panthéon, à l’angle de la rue Saint Jacques, c’est une mosaïque de Jules Vallès que vous rencontrerez et rue Véron, dans le 18ème , une autre de Louise Michel. Enfin, sous réserve qu’un adepte de Thiers ne les ait pas détruites…
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