Mais, chère Lilith… "Le foutre en l'air", cela s'appelle de l'onanisme !
(Sinon, je suis pour ma part le précepte de Montaigne : je règle mon réveil bien avant l'heure nécessaire, pour le doux plaisir de lui clouer le bec et me rendormir — enfin, chez Montaigne c'était salement plus vache puisque c'était un domestique qui devait venir le réveiller au milieu de la nuit…)
Ah bon ? je croyais que c'était une fontaine de jouvence ! Mais vous m'inquiétez, très Cher Georges : clouer le bec du réveil pour se rendormir et se réveiller tout seul - pile à l'heure - ne serait-ce pas l'acceptation, inconsciente, de l'aliénation ? Quant à Montaigne, voilà bien l'exemple topique du sommet de l'humiliation domestique. Je me suis laissée dire qu'à l'office, on l'appelait "Ma Teigne"... Mes démangeants hommages,
En réalité je galégeais : on n'a ni c'machin (le réveil) ni quelconque autre moyen d'auto-torture liée au tripalium, par chez nous… Mais c'est avec une grâce déférente que je vous adresse mes propres hommages !
Mais, chère Lilith… "Le foutre en l'air", cela s'appelle de l'onanisme !
RépondreSupprimer(Sinon, je suis pour ma part le précepte de Montaigne : je règle mon réveil bien avant l'heure nécessaire, pour le doux plaisir de lui clouer le bec et me rendormir — enfin, chez Montaigne c'était salement plus vache puisque c'était un domestique qui devait venir le réveiller au milieu de la nuit…)
Ah bon ? je croyais que c'était une fontaine de jouvence ! Mais vous m'inquiétez, très Cher Georges : clouer le bec du réveil pour se rendormir et se réveiller tout seul - pile à l'heure - ne serait-ce pas l'acceptation, inconsciente, de l'aliénation ? Quant à Montaigne, voilà bien l'exemple topique du sommet de l'humiliation domestique. Je me suis laissée dire qu'à l'office, on l'appelait "Ma Teigne"...
RépondreSupprimerMes démangeants hommages,
En réalité je galégeais : on n'a ni c'machin (le réveil) ni quelconque autre moyen d'auto-torture liée au tripalium, par chez nous…
RépondreSupprimerMais c'est avec une grâce déférente que je vous adresse mes propres hommages !
Alors vous êtes George-le-bienheureux, et cette nouvelle année sera la vôtre !
RépondreSupprimerMes travaillés hommages...