Faut réviser tes classiques, Th. : cette illustration issue de l'album Ex-libris eroticis publié chez Taschen a servi de vignette de haut-de-page pour la rubrique "Épluchures" (la page de critique littéraire) du maudit et défunt journal Mordicus au début des années 90, de même que le slogan qui l'entoure a servi à la même époque de phylactère collé sur d'immondes pubs du métropolitain parisien pour faire un peu de réclame audit journal. Et Lilith, attention : c'est pas Mademoiselle mais Madame (j'étais à son mariage). Son mari est boxeur, entre autres…
Je ne saurais pas plus que George vous citer le nom de l'auteur talentueux de cet ex-libris. Pour le reste, ses indications sont parfaitement exactes. Quant à mes noces, Damned ! vous ne croyez pas si bien dire : le boxeur cache sous ses gants des doigts griffus et a la beauté du diable. Et George qui n'y a vu que du feu... Mes sabbatiques hommages.
Certes, mais les sabots fendus, ainsi que quelques signes que je tairai ici excluent tout doute possible. Dois-je vous rappeler que je m'appelle Lilith, et que nul autre ne m'était destiné... ? Mes hommages assurés.
"Un pays sans oisifs ou sans fainéants est un pays sans idéal. Car l'idéal de la plupart des hommes est de vivre dans l'oisiveté, l'oisiveté sociale, bien entendu"
Heureuse initiative, Madame (?). Mademoiselle (?)
RépondreSupprimerCe n'est sans doute pas Bob Black qui a réalisé cette très belle lithographie (?), mais alors qui ?
Mes hommages suspendus
- à vos lèvres (ou du moins, à votre réponse électronique).
Faut réviser tes classiques, Th. : cette illustration issue de l'album Ex-libris eroticis publié chez Taschen a servi de vignette de haut-de-page pour la rubrique "Épluchures" (la page de critique littéraire) du maudit et défunt journal Mordicus au début des années 90, de même que le slogan qui l'entoure a servi à la même époque de phylactère collé sur d'immondes pubs du métropolitain parisien pour faire un peu de réclame audit journal.
RépondreSupprimerEt Lilith, attention : c'est pas Mademoiselle mais Madame (j'étais à son mariage).
Son mari est boxeur, entre autres…
De classiques épluchures difficilement trouvables, cher Georgius...
RépondreSupprimerCeci dit, vous ne répondez que par la bande à mes pointilleuses questions.
Dame Lilith, Damned ! Mariée ! Vous voilà dans de beaux draps.
Mes hommages interdits
Je ne saurais pas plus que George vous citer le nom de l'auteur talentueux de cet ex-libris.
SupprimerPour le reste, ses indications sont parfaitement exactes.
Quant à mes noces, Damned ! vous ne croyez pas si bien dire : le boxeur cache sous ses gants des doigts griffus et a la beauté du diable. Et George qui n'y a vu que du feu...
Mes sabbatiques hommages.
La griffe ne fait pas le diable, dame Lilith. Il se pourrait fort bien que sous cet accoutrement se cache un représentant de la secte de Nazareth.
SupprimerMes vigilants hommages.
Certes, mais les sabots fendus, ainsi que quelques signes que je tairai ici excluent tout doute possible.
SupprimerDois-je vous rappeler que je m'appelle Lilith, et que nul autre ne m'était destiné... ?
Mes hommages assurés.
"Un pays sans oisifs ou sans fainéants est un pays sans idéal. Car l'idéal de la plupart des hommes est de vivre dans l'oisiveté, l'oisiveté sociale, bien entendu"
RépondreSupprimerPort d'eaux mortes
Vous avez raison, très-cher : "port d'eaux vives" eût été trop remuant...
SupprimerMes hommages affalés.