« Moi, je suis presque millionnaire - à la fois avec un emprunt (sic) - parce que mes deux parents sont morts. Et parce qu'ils sont morts, je suis devenu presque millionnaire... »
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Les pauvres, ça se plaint tout le temps et ça aime pas les riches. Mais les riches, s'ils sont riches, c'est juste qu'ils ont plus de parents, les pauvres ! Et les pauvres, s'ils sont pauvres, c'est parce que - eux - ils ont encore leur papa et leur maman. Un jour - dans longtemps - quand leur pauvre papa et pauvre maman seront morts, c'est sûr, ils seront riches. Mais ils veulent pas attendre (le pauvre, en plus d'être pauvre, est impatient). Alors, ces salauds de pauvres, si ils sont si pressés, au lieu de faire chier les riches, ils ont qu'à buter leurs parents !
Tout le monde devrait tuer tout le monde. D'ailleurs, ça ne va pas tarder.
RépondreSupprimerEn attendant, je propose de vous servir le thé (plus de verveine fraîche à cette époque de l'année, mais quelques bonnes feuilles séchées. Je ne conserve que les meilleures d'entre les feuilles.)
L'eau bout.
Je dors.
Sœur Lilith, alunissons !
Très cher Marquis,
SupprimerEn ces frimas d'hiver, je me suis moi-même endormie. J'ai laissé l'eau de votre verveine bouillir mille fois jusqu'à probable évaporation complète. Me pardonnerez-vous si, au réveil, ma préférence penche vers une cafetière d'arabica et qu'une fois mes pleines forces recouvrées, c'est une chopine de pale ale, un ballon de sang de dieu ou une coupe de champagne qui, seules, savent me les conserver ?
Mes pétillants hommages.
Toutes vos actions et non-actions vous seront pardonnées devant l'Éternelle Caprine, Sœur Lilith.
SupprimerLe contraire vous va tellement bien...
Le déserteur agroforestier vous envoie ses meilleures pensées en forme de feu follet.