mardi 6 septembre 2016

Ici, heureuse comme nullipare (2) : Beau comme un berceau qui brûle !




« Au fond, tous les berceaux sont des cloaques dont on est obligé de changer le linge plusieurs fois par jour ; et cela n’est jamais poétique, pour ceux qui croient à la poésie, que lorsque l’enfant n’y est plus. »

(Barbey d’Aurevilly, Le bonheur dans le crime

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